Contentons-nous de ceux du cher Maurice Ferrus: -"Voici un homme que la nature avait comblé de ses dons sous le rapport de la carrure et de la puissance des épaules. On l'appelle: le Portefaix. Il avait parié de porter une garge de 1250 kilos depuis la Porte Cailhau jusqu'aux Chartrons; il gagna son pari, mais son ventre s'étant ouvert sous l'effort des muscles il succomba peu après. La peau du portefaix a presque l'épaisseur d'un cuir de boeuf" (Les Momies de Saint Michel - Mautice Ferrus - page 9).

Avec talent l'érudit écrivain Roger Galy évoque dans son livre "Rues de Bordeaux" la très ancienne légende du Mirail (page 161). Nous y relevons les mots: "un secret appris en Egypte" qui reviennent dans ce récit comme le "Tirez la chevillete du Petit Chaperon Rouge". Phrase clé venant des profondeurs d'antan et que Cagliostro connaissait bien. Roger Galy signale le nom de famille "du Mirail" très ancien en Gironde.

Ainsi parla l'Odalisque qui connut Monsieur de Cagliostro


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